Ce dépotoir d’ordures existe là-bas depuis l’ancien régime c’est a dire celui de Mar Diouf. Un constat fait par les tailleurs qui travaillent jour et nuit des les environs. Il se situe à l’entrée du marché de Bargny et pire encore en face du poste de santé Ndiaye Diouf sur cette route secondaire qui part de la route principale qui serpente la commune et qui mène à Khéwar, Mboth, Cite Est 2 ou encore Missirah et le Lycée de Bargny.
C’est dans un axe très emprunté par tous ceux qui veulent passer par cette voie pour aller vers ces lieux sus nommés. Ce dépôt gène et cela même le directeur des Hall et Marchés de la commune, Moussa Ndione l’a reconnu.
Du coup les tas d’immondices qui s’amoncellent sur place deviennent une vraie bombe écologique, qui fait très mal au passants et autres personnes prenant cette voie.
Maintenant ce dernier trouvé dans son bureau ce jeudi a l’extrémité du marché, nous a fait savoir que ce dépôt qui date de plus de dix ans a toujours été accepté par les occupants du matché . Et que chaque semaine, du lundi au samedi, trois femmes de charges engagées par la mairie, ramassent les ordures issues du marché pour que le camion de collecte vienne tout débarrasser dans ce même dépôt, précise Moussa Ndione. Pour lui ce sont les populations des quartiers de Cité, Khéwar et Darou 1 qui viennent aggraver la situation. Du coup les tas d’immondices qui s’amoncellent sur place deviennent une vraie bombe écologique, qui fait très mal au passants et autres personnes prenant cette voie.
Mour poursuit qu’ils ont depuis longtemps fait part au maire de Bargny ce problème mais comme a chaque fois, c’est »qu’on y trouver une solution ». Ce qui n’arrive toujours pas.
Sauf que voila, depuis quelques mois certains travailleurs dans les environs, rechignent devant le fait. C’est la cas de Babacar Kébé et Mour Diagne deux maîtres tailleurs qui tiennent leurs ateliers a deux pas du dépôt incriminer, qui déplorent cette cohabitation.
Mour Diagne très amer sort de son atelier a notre rencontre; il poussait en ce moment d’un balai un rampant. Ce qu’il montra vertement au directeur du marché, »Voici le troisième serpent que j’ai tué dans mes locaux ce n’est pas normal » peste-il ouvertement devant Moussa Ndione. Avant de renchérir; » Vous devez trouver une solution urgente a ce dépôt qui ne doit plus être ici ». Mour poursuit qu’ils ont depuis longtemps fait part au maire ce problème mais comme a chaque fois, c’est »qu’on y trouver une solution ». Ce qui n’arrive toujours pas.
Le dépôt fait un total de cinq bacs a ordures coupés d’un baril d’huile vide. Des contenants qui sont loin de satisfaire le volume d’ordures infectes et nauséabondes qui s’y dégagent quotidiennement, versées par les marchands, les bouchers, les clients, les poissonniers, bref tous les occupants et riverains du dépôt.
Pour sa part Moussa Ndione reconnaît le problème et avoue ne pas avoir de solution immédiate pour l’instant. Il interpelle les population a garder leurs ordures a la maison en attendant le ramassage hebdomadaire du camion des techniciens de surface de l‘Entente Cadak-Car. Les deux maîtres tailleurs attendent avec un mince espoir que la solution sera trouver c’est a dire pour eux que le dépôt soit ôter de la. Moussa Ndionepour sa part espère que les populations entendront raison et que les deux maîtres
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